Changez d’alimentation !

Vidéo par le Professeur Joyeux

Chirurgien Cancérologue, spécialiste International de la prévention par la nutrition des maladies de civilisations, le Professeur Henry Joyeux vous livre son point de vue sur la maladie, son origine et dispense des conseils pour vivre mieux:

1. Faire du sport régulièrement.
2. Eviter le surpoids excessif.
3. Si vous voulez avoir des enfants, le mieux est avant 30 ans ET si vous avez des enfants, allaitez les au moins 6 mois selon les conseils de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
4. Si vous voulez fumer, gardez une ou deux cigarettes par jour, pas plus, ET évitez le tabagisme passif.
5. Buvez au total 3 grands bols par jour : le matin de tisanes de thé, thym, romarin, sauge, de menthe… et le soir verveine, camomille, tilleul, achillée millefeuille… + 3 verres d’eau au repas. Ni coca, ni soda, ni nutella…
6. Consommez plus de calcium végétal qu’animal, en choisissant en priorité les produits laitiers des petits animaux, chèvres et brebis (1 seule portion par jour). Pas de produits laitiers liquides ou semi-liquides,.
7. Augmentez la consommation de salades et autres crudités + 4 à 6 fruits frais par jour, si possible BIO et de saison, dont un fruit frais à chaque récré… pour les enfants en âge scolaire.Pas de compotes, elles contiennent trop de sucre et vous ne les mastiquez pas.
8. Consommez fruits secs et oléagineux(noix-noisettes-amandes-pignon­s) et légumineuses cuites à la Vapeur douce de courte durée, quelques minutes pour être al dente, pour que l’aliment soit craquant.
9. Consommez poissons et fruits de mer, 2 à 3 fois par semaine, pour avoir l’iode pour votre thyroïde, les oméga 3, les minéraux et les oligo-éléments pour nourrir vos neurones.
10. Evitez les plats industriels ou trop cuisinés.
11. Consommez moins de Gluten, car si vous avez la moindre intolérance, il est responsable de porosité intestinale.
12. Evitez au maximum les consommations hormonales prolongées, idéalement moins de 5 ans pour la contraception et mieux pas du tout.

De plus en plus de végétariens chez les stars

Jeanne Mas : ses conseils pour devenir végétarien

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Jeanne Mas raconte dans « Ma vie est une pomme », son premier livre, comment elle est devenue végétarienne, puis vegan par amour des animaux. Un récit à la fois drôle et émouvant dans lequel notre star des années 80 se dévoile sans langue de bois. Jeanne décrit son enfance, lorsque sa mère l’obligeait, à coups de culpabilité, à avaler de la viande. Les troubles alimentaires engendrés ; boulimie, anorexie. Et enfin, sa renaissance physique et psychologique grâce au végétarisme. « On ne devient pas végétarien par hasard, écrit-elle. On adopte ce style de vie d’abord par respect pour les animaux, la nature, la planète. Et puis un jour on réalise que l’on se sent mieux. On découvre une énergie nouvelle. Notre peau semble préservée des effets du temps, on traverse les hivers plus légèrement, on reste mince et on se sent purifié ». Parce que devenir végétarienne n’a pas été simple, elle nous livre quelques conseils pour adopter ce style de vie à la fois éthique et garant d’une bonne santé, à condition de ne pas faire n’importe quoi.

Jeanne Mas : « Ma vie est une pomme. Laissez-vous tenter par le végétarisme », éditions Michel Lafon.

logo_PM  Vidéo Loan Ego, interview Anne-Cécile Beaudoin.

 

Comment les produits laitiers pasteurisés détruisent les os de l’intérieur

Le lait est la seule boisson que l’on persévère à donner aux enfants pour leur santé alors que c’est l’exact opposé – un aliment favorisant les maladies. Boire du lait pasteurisé est loin d’être aussi bon pour la santé en général ou pour les os que l’industrie laitière l’a prétendu. En fait, ce conte de fées que « le lait est bon pour le corps » est dénoncé encore plus fréquemment par de nombreux scientifiques et chercheurs indépendants qui en ont vraiment assez de cette propagande.

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Selon une étude à grande échelle sur des milliers de suédois, le lait de vache a un effet néfaste sur la santé lorsqu’il est consommé sur le long terme. La recherche a été publiée dans le Bristish Medical Journal (BMJ).

L’étude, qui a suivi 61 433 femmes âgées de 39 à 74 ans pendant plus de 20 ans, et 45 339 hommes d’âges similaires pendant 11 ans, a trouvé que plus les gens buvaient  de lait de vache, plus ils étaient susceptibles d’avoir une fracture osseuse ou de mourir pendant la période de l’étude.

Les risques ont été particulièrement marqués pour les femmes, un groupe auquel il avait été conseillé de boire du lait pour aider à éviter les fractures résultant de l’ostéoporose.

Les femmes qui ont déclaré avoir bu trois verres de lait ou plus par jour avaient presque doublé le risque de mourir au cours de la période de l’étude que celles qui avaient déclaré n’avoir bu qu’un verre de lait par jour. Un verre est défini comme une portion de 200 ml. Elles avaient également eu 16% d’augmentation de risque d’avoir une fracture à n’importe quel endroit du corps.

Pourquoi le lait entraîne l’ostéoporose et des fractures

L’industrie laitière a travaillé dur les 50 dernières années pour convaincre les gens que les produits laitiers pasteurisés tels que le lait ou le fromage augment les niveaux de calcium biodisponible. C’est totalement faux. Le processus de pasteurisation ne crée que du carbonate de calcium qui n’a absolument aucun moyen de pénétrer dans les cellules sans agent chélateur. Par conséquent, le corps tire le calcium des os et autres tissus (vaisseaux sanguins, dents, etc) de façon à tamponner le carbonate de calcium dans le sang. Ce processus entraîne en fait l’ostéoporose.

Les produits laitiers pasteurisés contiennent trop peu de magnésium nécessaire au bon ratio pour absorber le calcium. La plupart des gens conviennent qu’un ratio minimum Cal/Mag est de 2 sur 1 et de préférence 1 sur 1. Ainsi, le lait, avec un rapport Cal / Mag de 10 sur 1 pose un problème. Vous pouvez mettre 1200 mg de calcium laitier dans votre bouche, mais vous auriez de la chance d’absorber réellement un tiers de celui-ci dans votre système.

Plus de 99% du calcium de l’organisme se trouve dans le squelette, où il assure la rigidité mécanique. Les produits laitiers pasteurisés apportent une quantité de calcium inférieure à la normale et le squelette est utilisé comme réserve pour répondre aux besoins du corps. L’utilisation à long terme du calcium du squelette pour répondre à ces besoins conduit à l’ostéoporose.

Les occidentaux sont constamment poussés à consommer des produits laitiers depuis la naissance, et pourtant ils ont des risques d’ostéoporose plus élevés que le reste du monde. En fait, les habitants des Etats-Unis, du Canada, Norvège, Suède, Australie et Nouvelle-Zélande ont les taux les plus élevés d’ostéoporose.

Le test pour la pasteurisation est appelé le test négatif alpha de la phosphatase. Lorsque le lait a été chauffé à 74°C (plus encore pour le lait UHT) et que la pasteurisation est terminée, l’enzyme phosphatase est détruite à 100%. Et devinez quoi ? C’est l’enzyme la plus essentielle pour l’absorption des minéraux, y compris le calcium ! La phosphatase est la troisième enzyme la plus abondante dans le lait cru et ceux qui boivent du lait cru voient leur densité osseuse augmenter. Plusieurs études ont documenté une plus grande densité osseuse et des os plus longs chez les animaux et les humains qui consomment du lait cru par rapport à du lait pasteurisé.

Le message selon lequel les oestrogènes construisent des os résistants aux fractures (préviennent l’ostéoporose) a été martelé dans l’esprit des femmes au cours des 4 dernières décennies par l’industrie pharmaceutique, vendant des formules de THS, comme Premarin et Prempro. L’alimentation élève également les niveaux d’oestrogènes dans le corps – et les produits laitiers sont responsables d’environ 60 à 70% des oestrogènes venant de l’alimentation. La principale source de cet oestrogène est la pratique de l’élevage industriel moderne de la traite en permanence des vaches pendant toute leur grossesse.  Avec la progression de la gestation, la teneur en oestrogènes du lait augmente de 15 pg/ml à 1000 pg/ml.

Le Conseil National de l’Industrie Laitière voudrait vous faire croire qu’ « il n’y a aucune preuve que les aliments riches en protéines comme les produits laitiers ont un impact défavorable sur l’équilibre du calcium ou la santé des os ». Mais ces mêmes professionnels du lait savent que c’est faux et ils déclarent par ailleurs « Les excès de protéines alimentaires, en particulier les protéines purifiées, augmentent l’excrétion urinaire du calcium. Cette perte de calcium pourrait potentiellement causer un équilibre calcique négatif, conduisant à la perte osseuse et à l’ostéoporose. Ces effets ont été attribués à une charge d’acide endogène accrue par le métabolisme des protéines, ce qui nécessite une neutralisation par les sels alcalins du calcium de l’os. »

Plus vous buvez de lait, plus vous avez de molécules inflammatoires

L’explication la plus probable des effets négatifs du lait sur la santé sont l’inflammation nocive causée par le galactose, un produit de dégradation du lactose, le principal sucre du lait. Dans un autre groupe de personnes, l’équipe a constaté que plus les gens boivent de lait, plus les molécules inflammatoires étaient présentes dans leur urine.

De plus, les femmes qui ont déclaré manger beaucoup de fromage et de yaourt avaient moins de risques de fracture ou de décès pendant l’étude que les femmes qui mangeaient de faibles quantités de produits laitiers. Ceci confirme l’hypothèse de l’inflammation car le yaourt et le fromage contiennent beaucoup moins de lactose et de galactose que le lait.

Carburant du cancer

Sur près de 60 hormones, l’une d’elles est une puissante hormone de croissance appelée Facteur de Croissance analogue à l’Insuline de type 1 (IGF-1). Par un caprice de la nature, il est identique chez les vaches et les humains.

Les aliments que vous mangez peuvent influencer la quantité d’IGF-1 qui circule dans le sang. Les régimes riches en calories globales ou en protéines animales ont tendance à stimuler l’IGF-1, et le lait semble y avoir un rôle particulièrement  inquiétant.

Considérez cette hormone comme une « pile à combustible » pour tout cancer… (le monde médical dit que l’IGF-1 est un facteur clé dans la progression rapide et la prolifération des cancers du sein, de la prostate et du côlon et nous soupçonnons que le plus probable est qu’il promeut tous les types de cancers). L’IGF-1 est un élément normal de TOUT lait… le nouveau-né est CENSE croître rapidement !  Qu’est-ce qui fait penser aux 50% des Américains obèses qu’ils ont besoin de plus de croissance ? Les consommateurs n’en pensent rien car ils n’ont aucune idée de ce problème… pas plus d’ailleurs que la plupart de nos médecins.

Des études financées par l’industrie laitière montrent une augmentation de 10% en IGF-1 chez les adolescentes qui boivent 1/2 litre de lait par jour et la même augmentation de 10% chez les femmes ménopausées qui boivent 3 verres par jour de lait écrémé ou écrémé à 1%.

L’IGF-1 favorise une croissance indésirable également – de même que la croissance du cancer et le vieillissement accéléré. l’IGF-1 est l’un des promoteurs de croissance du cancer les plus puissants qui aient jamais été découverts. La surstimulation de la croissance par l’IGF-1 conduit à un vieillissement prématuré également et réduire les niveaux d’IGF-1 est anti-vieillissement.

Une étude publiée par le World Cancer Research Fund et L’American Institute for Cancer Research en 1997 a révélé que le risque de cancer allait de pair avec la consommation de lait dans de nombreuses études.

La pasteurisation masque la mauvaise qualité du lait et détruit les nutriments et les enzymes

Pourquoi les humains boivent-ils toujours du lait ? Parce qu’ils pensent que c’est sans danger grâce à la pasteurisation. Cependant, la chaleur détruit un grand nombre de bactéries du lait et ainsi dissimule la preuve de la saleté, du pus et des pratiques laitières sales également. Il est plus économique de produire du lait et de tuer les bactéries par la chaleur, que de maintenir une laiterie propre et de garder les vaches en bonne santé. Pour combattre l’augmentation des pathogènes contenus dans le lait, il passe par la « clarification », le « filtrage », la « bactofugation » et deux traitements de « décarbonatation ». Chacun de ces traitements utilise la chaleur de 37,7°C à 80°C (100 à 175°F). Les laiteries comptent sur de nombreux traitements thermiques pour masquer leurs conditions sanitaires déplorables : lait rempli de pus, fumier et débris. « Consumer Reports » a trouvé que 44% des 125 échantillons de lait pasteurisé contenaient jusqu’à 2200 organismes par cm3 (bactéries fécales, coliformes).

La pasteurisation détruit également la vitamine C et détériore les vitamines B solubles dans l’eau, diminuant la valeur nutritive du lait, ainsi que l’équilibre de ses composants. Le calcium et les autres minéraux sont rendus indisponibles par la pasteurisation. La réaction de Maillard, une réaction chimique entre les protéines et les sucres, se produit à des chaleurs élevées et provoque le brunissement, puis la décoloration du lait.

Les enzymes du lait, les protéines, les anticorps ainsi que les hormones bénéfiques sont tués par la pasteurisation, ce qui rend le lait dévitalisé, sans vie. Les enzymes – ferments lactiques – du lait aident à digérer le lactose et les enzymes et les protéines du lait aident à absorber les vitamines. Les enzymes protectrices du lait sont inactivées, ce qui le rend plus facilement toxique.

Dans l’ensemble, le lait pasteurisé n’est pas une boisson qui peut être recommandée pour maintenir ou entretenir la santé. Il n’a aucune valeur nutritive significative et il y a un risque beaucoup plus grand à en consommer qu’à le bannir. Il existe aussi beaucoup de solutions de rechange, y compris le lait de coco, le lait d’amandes, de cajou, de chanvre, qui dépassent de loin le lait de vache en termes de nutrition et de propriétés favorables à la santé.

Natasha Longo est titulaire d’une maîtrise en nutrition et est conseillère en nutrition certifiée d’un centre de fitness. Elle donné des consultations sur la politique de santé publique et d’approvisionnement au Canada, en Australie, en Espagne, en Irlande, en Angleterre et en Allemagne.

Des chercheurs lillois démontrent le rôle du sel dans le diabète !

Un mécanisme tout simple a été mis en évidence par des chercheurs  de Lille : il faut séparer le sucre du sel pour contribuer à prévenir le diabète…

Jusqu’à présent, on pensait que le diabète était essentiellement lié au sucre. Les résultats d’une étude, publiée ce jeudi dans la revue médicale internationale Cell Metabolism, révèlent également l’effet néfaste du sel dans cette maladie.

De nouvelles perspectives médicales

Ce sont des chercheurs de l’unité mixte de recherche 1190 Iserm, de l’université de Lille-2 et du CHRU de Lille qui ont mis à jour ce mécanisme conjoint du sucre et du sel, une découverte qui ouvre de nouvelles perspectives pour prévenir le diabète.

« De simples mesures diététiques, comme la diminution de l’ingestion simultanée de sel et de sucre, pourraient contribuer à prévenir cette maladie », souligne l’équipe de recherche.

Quelle est l’incidence de l’opération bariatrique ?

A l’origine de cette avancée médicale, une constatation. « Après pour les personnes souffrant d’obésité, les services du Pr François Pattou, chirurgien au CHRU de Lille, avaient observé que les patients diabétiques avaient tendance à voir leur taux de diabète baisser. Et ce, avant même la perte de poids », raconte le CHRU.

Des recherches ont permis de mettre en évidence que cette opération bariatrique modifiait l’assimilation du sel par l’organisme, sans qu’on comprenne encore exactement les mécanismes de cet effet spectaculaire. D’après le CHRU, « la bile joue certainement un rôle ».

Article de 20minutes.fr

Ma liste d’articles à éviter car dangereux ou néfastes pour la santé

Alimentaire

– Boissons :

Non alimentaire

– Hygiène de vie :

  • Les dentifrices :

Le danger du Dioxyde de titane … L’amiante et le dioxyde de titane « sont vraiment similaires et ont la même puissance » toxique ! (Lien sur WikiStrike)
Liste des dentifrices qui en contiennent : Sensodyne,  Aquafresh triple protection, Aquafresh blancheur soin complet, Dentifrice carrefour, …

Le Triclosan est un antifongique et antibactérien, mais il est aussi un perturbateur endocrinien contesté par beaucoup.

Liste des dentifrices qui en contiennent : Colgate Total, Sanogyl soin global …

La glande anale de castor dans vos assiettes

La glande anale de castor sert d’arôme « naturel » dans de nombreux aliments.

Le castoréum est une sécrétion huileuse et odorante produite par des glandes spécifiques par les deux espèces existantes du genre castor : Castor fiber en Eurasie et Castor canadensis en Amérique du Nord.

Ces glandes s’ouvrent dans le cloaque de l’animal, près du pénis et de l’anus (où une autre glande exocrine odorante existe aussi).

Les glandes anales dans vos aliments
Les glandes anales dans vos aliments

 

Cette substance est décrite, connue, recherchée et commercialisée pour divers usages dès l’Antiquité.
Elle est citée dans les textes médicaux de l’époque byzantine et on lui a trouvé divers usages en parfumerie.

Le castoréum est aussi utilisé pour parfumer les cigarettes et comme ingrédient alimentaire (Burdock GA (2007), Safety assessment of castoreum extract as a food ingredient Int J Toxicol). Il entre notamment souvent dans la composition de la saveur naturelle de vanille (Feneroli’s Handbook of Flavor Ingredients) et est aussi utilisé, dans une moindre mesure, comme une composante des saveurs de framboise et de fraise (CRC Handbook of Food Additives, Volume 2) de certaines sucreries.

***

Les produits vanillés, alimentaires ou non, contiennent des agents de saveurs qui miment le goût de la vanille. Mais certains sont moins ragoûtants que d’autres… comme le castoréum. Il n’est pas rare de lire la mention « saveur vanille » sur les yaourts, glaces ou gâteau que nous consommons tous les jours. Vous n’êtes pas sans ignorer que cela signifie que ce produit ne contient pas réellement de la vanille, mais uniquement des agents aromatiques. Le plus célèbre est la vanilline, une molécule synthétique qui mime le goût de la vanille. Toutefois, il existe un autre arôme naturel que vous connaissez sans doute moins. Son nom : le castoréum. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, ceci n’est pas une simple appellation puisque cet arôme provient bel et bien de castors. Et plus précisément, de leurs postérieurs.

Des glandes goût vanille

Le castoréum est une sécrétion huileuse très odorante créée par la rencontre de fluides des glandes périnéales et anales, et de l’urine du castor. Son odeur, agressive à l’état pur, permet à l’animal de marquer son territoire dans la nature. Mais une fois le castoréum dilué, la senteur devient agréablement douce et chaude. Cet extrait de castor est connu et employé depuis l’Antiquité. Contenant le même principe actif que l’aspirine, il était même utilisé comme médicament à l’époque. Son usage s’est restreint depuis, à l’alimentation et la parfumerie. Il permet de créer un arôme de vanille, et plus rarement de framboise. Sa production tend cependant à diminuer, car il faut tuer l’animal pour l’extraire. Si tout ceci vous a coupé l’appétit, soyez tout de même rassurés, le castoréum n’est pas présent dans la majorité des produits vanillés. Chaque année, seuls 136 kilogrammes de castoréum sont produits, contre 1.200 tonnes de vanilline.

Les produits vanillés, alimentaires ou non, contiennent des agents de saveurs qui miment le goût de la vanille. Mais certains sont moins ragoûtants que d’autres… comme le castoréum. Il n’est pas rare de lire la mention « saveur vanille » sur les yaourts, glaces ou gâteau que nous consommons tous les jours. Vous n’êtes pas sans ignorer que cela signifie que ce produit ne contient pas réellement de la vanille, mais uniquement des agents aromatiques. Le plus célèbre est la vanilline, une molécule synthétique qui mime le goût de la vanille. Toutefois, il existe un autre arôme naturel que vous connaissez sans doute moins. Son nom : le castoréum. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, ceci n’est pas une simple appellation puisque cet arôme provient bel et bien de castors. Et plus précisément, de leurs postérieurs. Des glandes goût vanille Le castoréum est une sécrétion huileuse très odorante créée par la rencontre de fluides des glandes périnéales et anales, et de l’urine du castor. Son odeur, agressive à l’état pur, permet à l’animal de marquer son territoire dans la nature. Mais une fois le castoréum dilué, la senteur devient agréablement douce et chaude. Cet extrait de castor est connu et employé depuis l’Antiquité. Contenant le même principe actif que l’aspirine, il était même utilisé comme médicament à l’époque. Son usage s’est restreint depuis, à l’alimentation et la parfumerie. Il permet de créer un arôme de vanille, et plus rarement de framboise. Sa production tend cependant à diminuer, car il faut tuer l’animal pour l’extraire. Si tout ceci vous a coupé l’appétit, soyez tout de même rassurés, le castoréum n’est pas présent dans la majorité des produits vanillés. Chaque année, seuls 136 kilogrammes de castoréum sont produits, contre 1.200 tonnes de vanilline.En savoir plus : http://www.maxisciences.com/vanille/l-039-ingredient-cache-qui-pourrait-vous-degouter-des-desserts-a-la-vanille_art34206.html
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Les produits vanillés, alimentaires ou non, contiennent des agents de saveurs qui miment le goût de la vanille. Mais certains sont moins ragoûtants que d’autres… comme le castoréum. Il n’est pas rare de lire la mention « saveur vanille » sur les yaourts, glaces ou gâteau que nous consommons tous les jours. Vous n’êtes pas sans ignorer que cela signifie que ce produit ne contient pas réellement de la vanille, mais uniquement des agents aromatiques. Le plus célèbre est la vanilline, une molécule synthétique qui mime le goût de la vanille. Toutefois, il existe un autre arôme naturel que vous connaissez sans doute moins. Son nom : le castoréum. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, ceci n’est pas une simple appellation puisque cet arôme provient bel et bien de castors. Et plus précisément, de leurs postérieurs. Des glandes goût vanille Le castoréum est une sécrétion huileuse très odorante créée par la rencontre de fluides des glandes périnéales et anales, et de l’urine du castor. Son odeur, agressive à l’état pur, permet à l’animal de marquer son territoire dans la nature. Mais une fois le castoréum dilué, la senteur devient agréablement douce et chaude. Cet extrait de castor est connu et employé depuis l’Antiquité. Contenant le même principe actif que l’aspirine, il était même utilisé comme médicament à l’époque. Son usage s’est restreint depuis, à l’alimentation et la parfumerie. Il permet de créer un arôme de vanille, et plus rarement de framboise. Sa production tend cependant à diminuer, car il faut tuer l’animal pour l’extraire. Si tout ceci vous a coupé l’appétit, soyez tout de même rassurés, le castoréum n’est pas présent dans la majorité des produits vanillés. Chaque année, seuls 136 kilogrammes de castoréum sont produits, contre 1.200 tonnes de vanilline.En savoir plus : http://www.maxisciences.com/vanille/l-039-ingredient-cache-qui-pourrait-vous-degouter-des-desserts-a-la-vanille_art34206.html
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L’ingrédient caché qui pourrait vous dégoûter des desserts à la vanille par Gentside Découverte

La majorité des produits portant la mention « arôme naturel de vanille » ne sont pas fabriqués à partir de gousses de vanille. Ils sont produits en utilisant des champignons qui fabriquent par fermentation la vanilline, molécule au goût vanille, à partir par exemple de pulpe de betterave. Seule la mention « extrait naturel de vanille » vous garantit que le produit a été fait à partir de véritable vanille.

D’après les lois européennes, les industriels peuvent faire figurer « arôme naturel » si leur produit remplit 2 conditions : premièrement, la molécule de base doit être naturelle, ici il s’agit de l’acide férulique issu de la pulpe de betterave, de sons de maïs, de sucre de riz ou autres. Deuxièmement, le procédé de fabrication doit également être naturel, il s’agit ici de fermentation naturelle réalisée par des champignons filamenteux non modifiés génétiquement.

Rappel :

– Seule la mention « extrait naturel de vanille » vous garantit que le produit a été fait à partir de véritable vanille.