Voici les marques d’eau en bouteilles qui possèdent le plus de polluants

On a pu détecter des pesticides ou polluants chimiques dans quelques marques d’eau en vente dans les magasins .

Selon l’étude menée conjointement par France libertés et 60 millions de consommateurs, des polluants ont été retrouvés dans 10 bouteilles d’eau sur les 47 examinées. Des micro-traces qui ne seraient pas nuisibles pour la santé de l’homme mais c’est une situation qui pose cependant la question de la pureté de l’eau en bouteille.

Ce qui a été retrouvé, ce sont des traces de pesticides et de médicaments. Mais alors quelles sont les marques concernées par les résultats de cette étude?

Voici les 10 marques d’eau en bouteilles incriminées avec les particules de pollution concernées.

Hépar – Source Hépar

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Buflomédil (médicament, vasodilatateur)
Mont Roucous – Source Mont Roucous
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Tamoxifène (hormone de synthèse utilisée pour lutter contre le cancer du sein)
Saint Amand – Source du Clos de l’abbaye
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Tamoxifène et Naftidrofuryl (médicament, vasodilatateur)
Vittel – Grande source

Hydroxyatrazine (pesticide)

Volvic – Source Clairvic

Atrazine (pesticide)

Carrefour discount – Source Céline Cristaline

Tamoxifène

Cora – Source Saint-Pierre

Atrazine

Cristaline – Source Louise

Oxadixyl (pesticide)

La Salvetat – Source La Salvetat

Tamoxifène

St-Yorre – Source Royale

Tamoxifène

Parmi les eaux en bouteille sans aucune trace de polluant, on retrouve les eaux minérales Evian, Contrex, Courmayer, Thonon, Montcalm, Wattwiller, les eaux minérales des marques Auchan, Carrefour, Leclerc et Leader Price, et les eaux minérales gazeuses Perrier, Badoit, San Pellegrino ou Quezac. 23 eaux de source en bouteille n’avaient également aucune trace de substance toxique.

Seules ces 10 références d’eau en bouteille présentaient des microtraces de polluants d’après 60 Millions de consommateurs.

 

http://www.lesartisansdufrais.com/pages/actu/pesticides-ogm/voici-les-marques-d-eau-en-bouteilles-qui-possedent-le-plus-de-polluants.html#exg8APB1BlZ2pyJM.01

Une pomme de 1950 équivaut à 100 pommes d’aujourd’hui

Mordre à pleines dents dans une pêche et avaler… de l’eau sucrée. Manger toujours plus, pour se nourrir de moins en moins. Tandis que, dans les pays développés, nos apports en calories augmentent, la plupart des aliments non transformés que nous consommons – fruits, légumes et céréales – deviennent des coquilles vides sur le plan nutritionnel.

Une dizaine d’études d’universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et aujourd’hui, font état d’une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments.

Voir le document

Ces travaux, résumés dans l’étude «  Still No Free Lunch  » [PDF] de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute, confirment l’essor de la «  calorie vide  »  : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé.

Même dans les aliments réputés sains, vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisés par deux, par 25, voire par 100, en un demi-siècle.

Pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 50, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette  !

1- Vitamine C : une pomme hier = 100 pommes aujourd’hui

Hier, quand nos grand-parents croquaient dans une transparente de Croncels, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine C chacune. Soit cent fois moins.

Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l’environnement à l’université Paris-VII et militant pour la préservation des semences anciennes, déplore :

«  Après des décennies de croisements, l’industrie agroalimentaire a sélectionné les légumes les plus beaux et les plus résistants, mais rarement les plus riches sur le plan nutritif. »

2- Vitamine A : une orange d’hier = 21 oranges d’aujourd’hui

Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes scrutés par des chercheurs canadiens dans une étude synthétisée pour CTV News [PDF].

Le déclin est total pour la pomme de terre et l’oignon qui, aujourd’hui, n’en contiennent plus le moindre gramme. Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux AJR (apports journaliers recommandés) – en vitamine A.

Aujourd’hui, il faudrait en manger 21 pour ingurgiter la même quantité de la précieuse vitamine. De même, une pêche des années 50 équivaut à 26 pêches aujourd’hui.

3- Fer : la viande en contient deux fois moins

Au début de la chaîne, il y a la céréale. Blé, maïs et soja sont aujourd’hui plus pauvres en zinc, en cuivre et en fer qu’il y a cinquante ans. Appauvries par des décennies d’agriculture intensive et de sélections variétales, ces céréales réapparaissent dans l’auge de nos bêtes, qui, par répercussion, se trouvent moins bien nourries que leurs ancêtres.

En bout de chaîne, l’animal devenu steak apportera moins de micronutriments dans nos assiettes. Tel est l’effet domino identifié par le chercheur américain David Thomas. Dans son étude publiée dans la revue Nutrition & Health, il constate qu’à poids égal, un même morceau de viande apporte deux fois moins de fer qu’un demi-siècle auparavant.

Autre dommage collatéral  : le lait «  a perdu ses acides gras essentiels  », déplore Philippe Desbrosses. Des acides essentiels à nos membranes cellulaires, notre système nerveux et notre cerveau. Naturellement présents dans l’organisme en très petite quantité, ils doivent nous être apportés par l’alimentation.

4- Calcium : quatre fois moins dans le brocoli

Mauvaise nouvelle. Si le brocoli figure sur la liste de ces légumes que vous ne consentez à avaler qu’en pensant à votre santé, vous n’avez pas fini de grimacer. Alors que ce chou venu du sud de l’Italie contenait 12,9 mg de calcium – allié de la construction osseuse et de la coagulation du sang – par gramme en 1950, ils n’en renfermait plus que 4,4 en 2003, selon une étude de l’université du Texas, soit quatre fois moins.

Si vous comptiez sur lui pour compenser la carence en fer de votre steak, c’est également loupé. Il vous faudrait en mettre six fois plus dans la soupe pour obtenir les mêmes bienfaits que par le passé. Sur les 25 légumes étudiés par l’équipe de recherche canadienne, 80% ont vu leur teneur en calcium et en fer décliner.

Le bio est-il une solution  ?

Les facteurs de ce déclin sont multiples. Des sols plus pauvres, des végétaux cueillis trop tôt, des traitements de conservation plus fréquents, des croissances plus rapides dopées par les engrais et une réduction du nombre de variétés, sélectionnées pour leur résistance aux parasites et leur rapidité de croissance…

Autant d’éléments imputables à une quête de meilleurs rendements. Résultat, «  pour le maïs, le blé et le soja, plus le rendement est important, plus le contenu en protéines est faible  », note Brian Halweil, dans son étude. Même schéma pour les concentrations de vitamine C, d’antioxydants et de bêtacarotène dans la tomate  : plus les rendements augmentent, plus la concentration de nutriments diminue [PDF].

A contrario, «  l’agriculture biologique peut contribuer à inverser la tendance  », indique Brian Halweil dans son étude. De fait, à conditions climatiques équivalentes :

« Les aliments bios contiennent significativement plus de vitamine C, de fer, de magnésium et de phosphore que les autres. »

Choisir des aliments mûrs

Le chercheur met pourtant en garde  :

«  Si les agriculteurs bios développent un système riche en intrants avec des rendements comparables aux exploitations conventionnelles, le bio verra son avantage nutritionnel s’éroder.  »

De même, si les produits bios sont cueillis avant maturité, ils sont finalement moins riches en nutriments que des produits mûrs de l’agriculture traditionnelle. Seule stratégie pour remettre de la vie dans son assiette  : choisir des aliments mûrs, produits de manière non intensive et partir à la chasse aux variétés oubliées. Une épopée.

Changez d’alimentation !

Vidéo par le Professeur Joyeux

Chirurgien Cancérologue, spécialiste International de la prévention par la nutrition des maladies de civilisations, le Professeur Henry Joyeux vous livre son point de vue sur la maladie, son origine et dispense des conseils pour vivre mieux:

1. Faire du sport régulièrement.
2. Eviter le surpoids excessif.
3. Si vous voulez avoir des enfants, le mieux est avant 30 ans ET si vous avez des enfants, allaitez les au moins 6 mois selon les conseils de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
4. Si vous voulez fumer, gardez une ou deux cigarettes par jour, pas plus, ET évitez le tabagisme passif.
5. Buvez au total 3 grands bols par jour : le matin de tisanes de thé, thym, romarin, sauge, de menthe… et le soir verveine, camomille, tilleul, achillée millefeuille… + 3 verres d’eau au repas. Ni coca, ni soda, ni nutella…
6. Consommez plus de calcium végétal qu’animal, en choisissant en priorité les produits laitiers des petits animaux, chèvres et brebis (1 seule portion par jour). Pas de produits laitiers liquides ou semi-liquides,.
7. Augmentez la consommation de salades et autres crudités + 4 à 6 fruits frais par jour, si possible BIO et de saison, dont un fruit frais à chaque récré… pour les enfants en âge scolaire.Pas de compotes, elles contiennent trop de sucre et vous ne les mastiquez pas.
8. Consommez fruits secs et oléagineux(noix-noisettes-amandes-pignon­s) et légumineuses cuites à la Vapeur douce de courte durée, quelques minutes pour être al dente, pour que l’aliment soit craquant.
9. Consommez poissons et fruits de mer, 2 à 3 fois par semaine, pour avoir l’iode pour votre thyroïde, les oméga 3, les minéraux et les oligo-éléments pour nourrir vos neurones.
10. Evitez les plats industriels ou trop cuisinés.
11. Consommez moins de Gluten, car si vous avez la moindre intolérance, il est responsable de porosité intestinale.
12. Evitez au maximum les consommations hormonales prolongées, idéalement moins de 5 ans pour la contraception et mieux pas du tout.

De plus en plus de végétariens chez les stars

Jeanne Mas : ses conseils pour devenir végétarien

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Jeanne Mas raconte dans « Ma vie est une pomme », son premier livre, comment elle est devenue végétarienne, puis vegan par amour des animaux. Un récit à la fois drôle et émouvant dans lequel notre star des années 80 se dévoile sans langue de bois. Jeanne décrit son enfance, lorsque sa mère l’obligeait, à coups de culpabilité, à avaler de la viande. Les troubles alimentaires engendrés ; boulimie, anorexie. Et enfin, sa renaissance physique et psychologique grâce au végétarisme. « On ne devient pas végétarien par hasard, écrit-elle. On adopte ce style de vie d’abord par respect pour les animaux, la nature, la planète. Et puis un jour on réalise que l’on se sent mieux. On découvre une énergie nouvelle. Notre peau semble préservée des effets du temps, on traverse les hivers plus légèrement, on reste mince et on se sent purifié ». Parce que devenir végétarienne n’a pas été simple, elle nous livre quelques conseils pour adopter ce style de vie à la fois éthique et garant d’une bonne santé, à condition de ne pas faire n’importe quoi.

Jeanne Mas : « Ma vie est une pomme. Laissez-vous tenter par le végétarisme », éditions Michel Lafon.

logo_PM  Vidéo Loan Ego, interview Anne-Cécile Beaudoin.

 

Comment les produits laitiers pasteurisés détruisent les os de l’intérieur

Le lait est la seule boisson que l’on persévère à donner aux enfants pour leur santé alors que c’est l’exact opposé – un aliment favorisant les maladies. Boire du lait pasteurisé est loin d’être aussi bon pour la santé en général ou pour les os que l’industrie laitière l’a prétendu. En fait, ce conte de fées que « le lait est bon pour le corps » est dénoncé encore plus fréquemment par de nombreux scientifiques et chercheurs indépendants qui en ont vraiment assez de cette propagande.

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Selon une étude à grande échelle sur des milliers de suédois, le lait de vache a un effet néfaste sur la santé lorsqu’il est consommé sur le long terme. La recherche a été publiée dans le Bristish Medical Journal (BMJ).

L’étude, qui a suivi 61 433 femmes âgées de 39 à 74 ans pendant plus de 20 ans, et 45 339 hommes d’âges similaires pendant 11 ans, a trouvé que plus les gens buvaient  de lait de vache, plus ils étaient susceptibles d’avoir une fracture osseuse ou de mourir pendant la période de l’étude.

Les risques ont été particulièrement marqués pour les femmes, un groupe auquel il avait été conseillé de boire du lait pour aider à éviter les fractures résultant de l’ostéoporose.

Les femmes qui ont déclaré avoir bu trois verres de lait ou plus par jour avaient presque doublé le risque de mourir au cours de la période de l’étude que celles qui avaient déclaré n’avoir bu qu’un verre de lait par jour. Un verre est défini comme une portion de 200 ml. Elles avaient également eu 16% d’augmentation de risque d’avoir une fracture à n’importe quel endroit du corps.

Pourquoi le lait entraîne l’ostéoporose et des fractures

L’industrie laitière a travaillé dur les 50 dernières années pour convaincre les gens que les produits laitiers pasteurisés tels que le lait ou le fromage augment les niveaux de calcium biodisponible. C’est totalement faux. Le processus de pasteurisation ne crée que du carbonate de calcium qui n’a absolument aucun moyen de pénétrer dans les cellules sans agent chélateur. Par conséquent, le corps tire le calcium des os et autres tissus (vaisseaux sanguins, dents, etc) de façon à tamponner le carbonate de calcium dans le sang. Ce processus entraîne en fait l’ostéoporose.

Les produits laitiers pasteurisés contiennent trop peu de magnésium nécessaire au bon ratio pour absorber le calcium. La plupart des gens conviennent qu’un ratio minimum Cal/Mag est de 2 sur 1 et de préférence 1 sur 1. Ainsi, le lait, avec un rapport Cal / Mag de 10 sur 1 pose un problème. Vous pouvez mettre 1200 mg de calcium laitier dans votre bouche, mais vous auriez de la chance d’absorber réellement un tiers de celui-ci dans votre système.

Plus de 99% du calcium de l’organisme se trouve dans le squelette, où il assure la rigidité mécanique. Les produits laitiers pasteurisés apportent une quantité de calcium inférieure à la normale et le squelette est utilisé comme réserve pour répondre aux besoins du corps. L’utilisation à long terme du calcium du squelette pour répondre à ces besoins conduit à l’ostéoporose.

Les occidentaux sont constamment poussés à consommer des produits laitiers depuis la naissance, et pourtant ils ont des risques d’ostéoporose plus élevés que le reste du monde. En fait, les habitants des Etats-Unis, du Canada, Norvège, Suède, Australie et Nouvelle-Zélande ont les taux les plus élevés d’ostéoporose.

Le test pour la pasteurisation est appelé le test négatif alpha de la phosphatase. Lorsque le lait a été chauffé à 74°C (plus encore pour le lait UHT) et que la pasteurisation est terminée, l’enzyme phosphatase est détruite à 100%. Et devinez quoi ? C’est l’enzyme la plus essentielle pour l’absorption des minéraux, y compris le calcium ! La phosphatase est la troisième enzyme la plus abondante dans le lait cru et ceux qui boivent du lait cru voient leur densité osseuse augmenter. Plusieurs études ont documenté une plus grande densité osseuse et des os plus longs chez les animaux et les humains qui consomment du lait cru par rapport à du lait pasteurisé.

Le message selon lequel les oestrogènes construisent des os résistants aux fractures (préviennent l’ostéoporose) a été martelé dans l’esprit des femmes au cours des 4 dernières décennies par l’industrie pharmaceutique, vendant des formules de THS, comme Premarin et Prempro. L’alimentation élève également les niveaux d’oestrogènes dans le corps – et les produits laitiers sont responsables d’environ 60 à 70% des oestrogènes venant de l’alimentation. La principale source de cet oestrogène est la pratique de l’élevage industriel moderne de la traite en permanence des vaches pendant toute leur grossesse.  Avec la progression de la gestation, la teneur en oestrogènes du lait augmente de 15 pg/ml à 1000 pg/ml.

Le Conseil National de l’Industrie Laitière voudrait vous faire croire qu’ « il n’y a aucune preuve que les aliments riches en protéines comme les produits laitiers ont un impact défavorable sur l’équilibre du calcium ou la santé des os ». Mais ces mêmes professionnels du lait savent que c’est faux et ils déclarent par ailleurs « Les excès de protéines alimentaires, en particulier les protéines purifiées, augmentent l’excrétion urinaire du calcium. Cette perte de calcium pourrait potentiellement causer un équilibre calcique négatif, conduisant à la perte osseuse et à l’ostéoporose. Ces effets ont été attribués à une charge d’acide endogène accrue par le métabolisme des protéines, ce qui nécessite une neutralisation par les sels alcalins du calcium de l’os. »

Plus vous buvez de lait, plus vous avez de molécules inflammatoires

L’explication la plus probable des effets négatifs du lait sur la santé sont l’inflammation nocive causée par le galactose, un produit de dégradation du lactose, le principal sucre du lait. Dans un autre groupe de personnes, l’équipe a constaté que plus les gens boivent de lait, plus les molécules inflammatoires étaient présentes dans leur urine.

De plus, les femmes qui ont déclaré manger beaucoup de fromage et de yaourt avaient moins de risques de fracture ou de décès pendant l’étude que les femmes qui mangeaient de faibles quantités de produits laitiers. Ceci confirme l’hypothèse de l’inflammation car le yaourt et le fromage contiennent beaucoup moins de lactose et de galactose que le lait.

Carburant du cancer

Sur près de 60 hormones, l’une d’elles est une puissante hormone de croissance appelée Facteur de Croissance analogue à l’Insuline de type 1 (IGF-1). Par un caprice de la nature, il est identique chez les vaches et les humains.

Les aliments que vous mangez peuvent influencer la quantité d’IGF-1 qui circule dans le sang. Les régimes riches en calories globales ou en protéines animales ont tendance à stimuler l’IGF-1, et le lait semble y avoir un rôle particulièrement  inquiétant.

Considérez cette hormone comme une « pile à combustible » pour tout cancer… (le monde médical dit que l’IGF-1 est un facteur clé dans la progression rapide et la prolifération des cancers du sein, de la prostate et du côlon et nous soupçonnons que le plus probable est qu’il promeut tous les types de cancers). L’IGF-1 est un élément normal de TOUT lait… le nouveau-né est CENSE croître rapidement !  Qu’est-ce qui fait penser aux 50% des Américains obèses qu’ils ont besoin de plus de croissance ? Les consommateurs n’en pensent rien car ils n’ont aucune idée de ce problème… pas plus d’ailleurs que la plupart de nos médecins.

Des études financées par l’industrie laitière montrent une augmentation de 10% en IGF-1 chez les adolescentes qui boivent 1/2 litre de lait par jour et la même augmentation de 10% chez les femmes ménopausées qui boivent 3 verres par jour de lait écrémé ou écrémé à 1%.

L’IGF-1 favorise une croissance indésirable également – de même que la croissance du cancer et le vieillissement accéléré. l’IGF-1 est l’un des promoteurs de croissance du cancer les plus puissants qui aient jamais été découverts. La surstimulation de la croissance par l’IGF-1 conduit à un vieillissement prématuré également et réduire les niveaux d’IGF-1 est anti-vieillissement.

Une étude publiée par le World Cancer Research Fund et L’American Institute for Cancer Research en 1997 a révélé que le risque de cancer allait de pair avec la consommation de lait dans de nombreuses études.

La pasteurisation masque la mauvaise qualité du lait et détruit les nutriments et les enzymes

Pourquoi les humains boivent-ils toujours du lait ? Parce qu’ils pensent que c’est sans danger grâce à la pasteurisation. Cependant, la chaleur détruit un grand nombre de bactéries du lait et ainsi dissimule la preuve de la saleté, du pus et des pratiques laitières sales également. Il est plus économique de produire du lait et de tuer les bactéries par la chaleur, que de maintenir une laiterie propre et de garder les vaches en bonne santé. Pour combattre l’augmentation des pathogènes contenus dans le lait, il passe par la « clarification », le « filtrage », la « bactofugation » et deux traitements de « décarbonatation ». Chacun de ces traitements utilise la chaleur de 37,7°C à 80°C (100 à 175°F). Les laiteries comptent sur de nombreux traitements thermiques pour masquer leurs conditions sanitaires déplorables : lait rempli de pus, fumier et débris. « Consumer Reports » a trouvé que 44% des 125 échantillons de lait pasteurisé contenaient jusqu’à 2200 organismes par cm3 (bactéries fécales, coliformes).

La pasteurisation détruit également la vitamine C et détériore les vitamines B solubles dans l’eau, diminuant la valeur nutritive du lait, ainsi que l’équilibre de ses composants. Le calcium et les autres minéraux sont rendus indisponibles par la pasteurisation. La réaction de Maillard, une réaction chimique entre les protéines et les sucres, se produit à des chaleurs élevées et provoque le brunissement, puis la décoloration du lait.

Les enzymes du lait, les protéines, les anticorps ainsi que les hormones bénéfiques sont tués par la pasteurisation, ce qui rend le lait dévitalisé, sans vie. Les enzymes – ferments lactiques – du lait aident à digérer le lactose et les enzymes et les protéines du lait aident à absorber les vitamines. Les enzymes protectrices du lait sont inactivées, ce qui le rend plus facilement toxique.

Dans l’ensemble, le lait pasteurisé n’est pas une boisson qui peut être recommandée pour maintenir ou entretenir la santé. Il n’a aucune valeur nutritive significative et il y a un risque beaucoup plus grand à en consommer qu’à le bannir. Il existe aussi beaucoup de solutions de rechange, y compris le lait de coco, le lait d’amandes, de cajou, de chanvre, qui dépassent de loin le lait de vache en termes de nutrition et de propriétés favorables à la santé.

Natasha Longo est titulaire d’une maîtrise en nutrition et est conseillère en nutrition certifiée d’un centre de fitness. Elle donné des consultations sur la politique de santé publique et d’approvisionnement au Canada, en Australie, en Espagne, en Irlande, en Angleterre et en Allemagne.

Des chercheurs lillois démontrent le rôle du sel dans le diabète !

Un mécanisme tout simple a été mis en évidence par des chercheurs  de Lille : il faut séparer le sucre du sel pour contribuer à prévenir le diabète…

Jusqu’à présent, on pensait que le diabète était essentiellement lié au sucre. Les résultats d’une étude, publiée ce jeudi dans la revue médicale internationale Cell Metabolism, révèlent également l’effet néfaste du sel dans cette maladie.

De nouvelles perspectives médicales

Ce sont des chercheurs de l’unité mixte de recherche 1190 Iserm, de l’université de Lille-2 et du CHRU de Lille qui ont mis à jour ce mécanisme conjoint du sucre et du sel, une découverte qui ouvre de nouvelles perspectives pour prévenir le diabète.

« De simples mesures diététiques, comme la diminution de l’ingestion simultanée de sel et de sucre, pourraient contribuer à prévenir cette maladie », souligne l’équipe de recherche.

Quelle est l’incidence de l’opération bariatrique ?

A l’origine de cette avancée médicale, une constatation. « Après pour les personnes souffrant d’obésité, les services du Pr François Pattou, chirurgien au CHRU de Lille, avaient observé que les patients diabétiques avaient tendance à voir leur taux de diabète baisser. Et ce, avant même la perte de poids », raconte le CHRU.

Des recherches ont permis de mettre en évidence que cette opération bariatrique modifiait l’assimilation du sel par l’organisme, sans qu’on comprenne encore exactement les mécanismes de cet effet spectaculaire. D’après le CHRU, « la bile joue certainement un rôle ».

Article de 20minutes.fr